Le festival Doko est terminé et nous sommes ravis d'avoir pu y participer, ne serait-ce pour découvrir d'autres fragments de vie de ce monde à travers un oeil vidéo. Gageons que cette première édition n'en restera pas là en continuant sur sa voie des énergies audiovisuelles qui découlent de ces visionnages et rencontres-débats.
La force de monter des projets vient aussi de la réception issue d'une oeuvre qui se doit d'être ouvert sur les autres au risque de se conforter dans un narcissisme aberrant. Mission réussie ne serait-ce pour les échanges d'idées et les connexions avant de repartir vers d'autres chemins qui appellent l'objectif.
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